DISPOSITIFS ET SYSTEMES POUR LA SOCIETE NUMERIQUE
Définition des enjeux scientifiques
Les acteurs du "numérique" de la Fédération d'Ingénierie de Lyon-St Etienne contribuent de façon majeure aux développements des technologies et dispositifs intégrés pour des applications de traitement de l'information toujours plus nombreuses et plus performantes, ainsi que dans l'exploration de composants innovants et alternatifs au coeur des fonctions de transduction, d'acquisition, de conditionnement, de traitement, de stockage, de transmission et de restitution de l'information. De plus, la composante Ingénierie très marquée du site Lyon - St Etienne explique un long historique d'utilisation d'objets connectés pour instrumenter et interagir avec l'environnement physique en temps réel et de manière autonome, dans plusieurs domaines sociétaux (transport, santé, environnement- énergie).
Ce sont ces approches pluridisciplinaires et transversales qui distinguent le site de Lyon-St Etienne, avec une forte implication régionale et collaborative, aussi bien avec les laboratoires académiques et industriels (notamment le CEA) qu'avec les partenaires socio-économiques (STMicroelectronics, SOITEC) à travers plusieurs programmes pluriannuels. Au niveau national (1 membre IUF), les laboratoires s'impliquent dans la communauté du numérique à travers des Labex, chaires CNRS, direction et pilotage de GDR (Soc Sip). Au-delà des frontières, les activités de la Fédération ont pu bénéficier d'un rayonnement international important, concrétisé par le portage et la participation à plusieurs projets européens FP7-ICT et H2020 (dont un ERC), ainsi qu'une UMI (LN2, Lyon-Sherbrooke).
Les travaux actuels incluent les recherches sur les micro-nano-technologies, les capteurs, les dispositifs micro-nano-électroniques et nanophotoniques, la conception de circuits intégrés et microsystèmes, la conception de systèmes hétérogènes, le développement d’outils et méthodes de métrologie et de conception, le traitement du signal et des images, la sécurité des systèmes embarqués, … En s’appuyant sur ses 4 domaines d’excellence, la Fédération
d’Ingénierie a pour objectif de mettre sur pied, en synergie avec d’autres fédérations du site, des projets fédératifs visant le développement de dispositifs pour la société numérique.
L'ensemble des travaux contribue directement aux DSI 6 (Technologies numériques et systèmes bienveillants) de la région Rhône-Alpes et aux technologies clés (KET) de la Micro- et Nanoélectronique, de la Nanotechnologie, de la Photonique.
En premier lieu, la problématique des systèmes intégrés et de l’intégration, et notamment hétérogène sur silicium doit être abordée, en interactions avec les fédérations de Physique et Chimie. Qu’il s’agisse de transducteurs intégrés avancés (capteurs tri-dimensionnels …) avec leur électronique, de la convergence optique-électronique (interconnexions optiques, photonique non-linéaire …), de la sobriété énergétique (récupération d'énergie, conception basse consommation, paradigmes architecturaux), de la sécurité matérielle (résistance aux attaques visant la confidentialité et l’intégrité des informations), ou de la miniaturisation de systèmes (intégration hétérogène, plastronique, intégration 3D). Le second volet visera, en interaction avec la Fédération d’Informatique, les systèmes distribués et capteurs ; pour optimiser le calcul distribué (contrôle distribué, sobriété des ressources, adaptabilité temps réel), le calcul haute-performance (modélisation computationnelle), les capteurs distribués (amortissement de vibrations, suivi de trajectoires, fusion de données), et les capteurs logiciels évolutifs (qualité d'acquisition …). Enfin, une attention particulière sera portée sur l’interface des dispositifs développés avec le domaine de l’Energie-Environnement et du Transport. En effet, que ce soit dans le but de réduire la consommation énergétique par une consommation moindre ou une distribution intelligente, ou bien encore de récupérer l’énergie ; l’interface, entre les dispositifs et leurs applications doit être pensée en amont.
La Fédération d’Ingénierie réunit en son sein la majeure partie des acteurs impliqués dans ces projets fédératifs. Elle devra envisager, à moyen terme, de répondre aux programmes européens H2020 type ICT.
Ce sont ces approches pluridisciplinaires et transversales qui distinguent le site de Lyon-St Etienne, avec une forte implication régionale et collaborative, aussi bien avec les laboratoires académiques et industriels (notamment le CEA) qu'avec les partenaires socio-économiques (STMicroelectronics, SOITEC) à travers plusieurs programmes pluriannuels. Au niveau national (1 membre IUF), les laboratoires s'impliquent dans la communauté du numérique à travers des Labex, chaires CNRS, direction et pilotage de GDR (Soc Sip). Au-delà des frontières, les activités de la Fédération ont pu bénéficier d'un rayonnement international important, concrétisé par le portage et la participation à plusieurs projets européens FP7-ICT et H2020 (dont un ERC), ainsi qu'une UMI (LN2, Lyon-Sherbrooke).
Les travaux actuels incluent les recherches sur les micro-nano-technologies, les capteurs, les dispositifs micro-nano-électroniques et nanophotoniques, la conception de circuits intégrés et microsystèmes, la conception de systèmes hétérogènes, le développement d’outils et méthodes de métrologie et de conception, le traitement du signal et des images, la sécurité des systèmes embarqués, … En s’appuyant sur ses 4 domaines d’excellence, la Fédération
d’Ingénierie a pour objectif de mettre sur pied, en synergie avec d’autres fédérations du site, des projets fédératifs visant le développement de dispositifs pour la société numérique.
L'ensemble des travaux contribue directement aux DSI 6 (Technologies numériques et systèmes bienveillants) de la région Rhône-Alpes et aux technologies clés (KET) de la Micro- et Nanoélectronique, de la Nanotechnologie, de la Photonique.
En premier lieu, la problématique des systèmes intégrés et de l’intégration, et notamment hétérogène sur silicium doit être abordée, en interactions avec les fédérations de Physique et Chimie. Qu’il s’agisse de transducteurs intégrés avancés (capteurs tri-dimensionnels …) avec leur électronique, de la convergence optique-électronique (interconnexions optiques, photonique non-linéaire …), de la sobriété énergétique (récupération d'énergie, conception basse consommation, paradigmes architecturaux), de la sécurité matérielle (résistance aux attaques visant la confidentialité et l’intégrité des informations), ou de la miniaturisation de systèmes (intégration hétérogène, plastronique, intégration 3D). Le second volet visera, en interaction avec la Fédération d’Informatique, les systèmes distribués et capteurs ; pour optimiser le calcul distribué (contrôle distribué, sobriété des ressources, adaptabilité temps réel), le calcul haute-performance (modélisation computationnelle), les capteurs distribués (amortissement de vibrations, suivi de trajectoires, fusion de données), et les capteurs logiciels évolutifs (qualité d'acquisition …). Enfin, une attention particulière sera portée sur l’interface des dispositifs développés avec le domaine de l’Energie-Environnement et du Transport. En effet, que ce soit dans le but de réduire la consommation énergétique par une consommation moindre ou une distribution intelligente, ou bien encore de récupérer l’énergie ; l’interface, entre les dispositifs et leurs applications doit être pensée en amont.
La Fédération d’Ingénierie réunit en son sein la majeure partie des acteurs impliqués dans ces projets fédératifs. Elle devra envisager, à moyen terme, de répondre aux programmes européens H2020 type ICT.